Après une année à devoir vivre au rythme de l’évolution de la crise sanitaire, la PHR a alterné entre crainte et adaptation. Vincent David analyse cette période qui a modifié le paysage médiatique.
Cela fait désormais un an que la crise sanitaire fait partie de notre quotidien. Comment se porte la PHR ?
Comment expliquez-vous cette stabilité ?
« Nos équipes, les journalistes, ont fait du très bon boulot toute cette année. »
Avec le télétravail, il y a eu une absence du travail en collaboration, mais nos journaux ont été très bons. On s’est démarqué dans notre suivi de la pandémie en se démarquant de la presse quotidienne. En faisant beaucoup de reportages au plus près de la population. Les gens l’ont remarqué et se sont reportés sur nos journaux.
Concernant le télétravail, les rédactions ont dû adapter leur manière de fonctionner, pensez-vous que ces pratiques sont amenées à disparaître avec le retour à la vie normale ?
L’an passé, vous avez annoncé miser sur la reprise économique et le retour de la publicité pour relancer le secteur. Cette reprise a-t-elle eu lieu ?
On a pu observer une diversification des médias de diffusion dans le paysage médiatique pendant cette période. Où en est la PHR ?